acrylique sur toile, 160/110cm.          

 acrylique sur toile, 160/110cm.                  

"étreinte2", acrylique sur toile, 150/105cm.   

"longue route", acrylique/toile160/110cm.                                                                                                                    




  acrylique sur toile, 50/50cm.             

"clochard ou philosophe", acylique/toile, 160/110cm.

"point critique", acryl/toile, 160/110 cm.

"nocturne", acrylique blanchesur fondnoir,220/320 cm, 2010.

"géante", acrylique sur toile, 220/160cm.                                                     

Ma technique elle-même est hâtive parce que j’ai dans l’idée que la chair du monde est instable et que nous- même ne sommes vivants que grâce à un rapt sur la matière.

les pieds sales, acryl sur toile, 220/150cm



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  "lament"                       acrylique, 150cm/105cm.

acrylique sur toile,300/210cm

Dans « miasmes », on est dans une ruelle recouverte d’un amoncellement d’éboulis. Beaucoup de gens s’agitent. Je n’ai traité que les vêtements des personnages. Les gens sont de la couleur du fond qui est noir.

Il y a ce même procédé dans « la veillée » ou « la chemise blanche ». Les humains sont signifiés en creux par leurs vêtements.

"peshawar 2",acrylique sur toile,220/150cm.

En faisant corps avec l’époque, en pointant le doigt sur les situations actuelles, j’essaie de dresser un constat moral et intellectuel d’aujourd’hui. Ces scènes valent pour ce qu’elles sont dans le temps présent mais aussi parce qu’elles sortent tout droit des mythes, parce que ce sont de modernes tragédies, des épreuves comparables aux 7 plaies d’Egypte.