acrylique sur toile,300/210cm
Dans « miasmes », on est dans une ruelle recouverte d’un amoncellement d’éboulis. Beaucoup de gens s’agitent. Je n’ai traité que les vêtements des personnages. Les gens sont de la couleur du fond qui est noir.
Il y a ce même procédé dans « la veillée » ou « la chemise blanche ». Les humains sont signifiés en creux par leurs vêtements.